Pratique des sports motorisés

La pratique des sports motorisés est très en vogue, or la circulation des véhicules, en dehors des voies ouvertes à la circulation publique, cause des dommages aux milieux naturels (altérations des habitats naturels), à la faune (dérangement, modification du comportement) et à la flore dont nous devons prendre conscience.
Elle est aussi source de danger (risques d’accidents et de nuisances) pour d’autres catégories d’usagers tels que les marcheurs, cavaliers et cyclistes (mais la réciproque est beaucoup plus rare ) et de dégradations de pistes et de chemin (érosion)

De plus, indépendamment de l’atteinte physique directe, on constate que pour certaines activités motorisées comme le jet ski, le quad ou la moto, même un petit nombre de pratiquants suffit à provoquer de grandes perturbations. En effet, leur capacité à se déplacer facilement et rapidement dans les espaces, le bruit généré sont autant de troubles à la tranquillité de la faune et des autres utilisateurs de la nature.

Afin de concilier protection de la nature et activité humaine, la circulation des véhicules à moteur dans les milieux naturels est réglementée depuis 1991

La ministre de l’environnement, Nelly Olin a d’ailleurs adressé une circulaire à tous les préfets de France afin que la réglementation soit appliquée pour l’encadrement des sports motorisés.

Nous demandons l’application simple de la loi pour tous.

Samedi 14 et 21, nous conseillons plutôt d’aller au cinéma voir le film sur le réchauffement climatique « Une vérité qui dérange », vous ne regarderez plus les gaz à effet de serre de la même manière après ca.